The customer is queen![ft. Selynah]

01/11/2017

The customer is queen!

Encore une journée de plus au travail. J'avais l'impression d'être submergé par les papiers administratifs mais aussi par de nombreuses demandes d'emplois et de partenariats par de nombreuses autres entreprises ou même d'associations.

Je me démenais également avec la demande du maire et je formais des équipes de surveillances qui s'occupaient de gérer les locaux médicaux mais également la ville. J'avais, ne quelque sorte, des yeux partout dans cette ville. Je remettais mes cheveux en place et lisait des tas de papier de ci, de là. Franchement heureusement que je ne pouvais pas mourir d'ennui ou bien que j'étais déjà "mort" et que je ne pouvais pas mourir une deuxième fois dû au travail que j'accomplissais dans l'entreprise.

Cependant j'entendais des bribes de voix dans le couloir. Mais pas une conversation des plus calme bien au contraire. Deux personnes semblaient s'énerver dans le couloir. Et je crus également reconnaître la voix de ma secrétaire dans cette "dispute" en plus d'une autre voix féminine qui m'était inconnue.
Je les laissais s'énervé et au bout d'un moment, je n'arrivais plus à me concentrer sur ma tâche, donc je sortais de mon bureau fusillant les deux femmes.

- Puis-je savoir ce qui se passe? Pourquoi troublez-vous le calme de mes bureaux mesdames?

J'identifia alors la voix de l'autre jeune femme et l'observais. Elle était tousse et assez belle il était vrai. Je posa ma main sur la porte, tandis que ma secrétaire, semblant stressée de me voir ainsi, essayait de bafouiller quelque chose de plausible.

Je suis désolé monsieur Harker, mais... Cette demoiselle voulait absolument vous voir et je lui ai demandé de rester ici... Pour vous attendre au moins.

Je passa mon regard de la femme à la jeune femme. J'attendais qu'elle s'explique.

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Admin Messages : 50 Date d'inscription : 04/10/2017

The customer is queen

Sebastian Harker & Selynah Parker

Je suis restée un week-end entier à ne rien faire chez moi, je suis resté à regarder l’extérieur depuis mon canapé avec un plaid. Je ne voulais pas sortir puis de toute façon je n’en avais pas l’envie de voir du monde ou tout simplement aller faire les magasins. Ce n’est qu’une perte de temps et je n’ai pas besoin de ça, ça doit faire quatre jours que je ne sors plus de chez moi et à vrai dire je préfère ça. Je n’ai qu’une envie restée allonger et regarder la télévision en silence tout en mangeant du chocolat. Je comprends mieux les filles et leurs fixations sur le chocolat quand ça ne va pas, ça vous fait aller légèrement mieux et la douceur de ce dernier sur votre langue vous fait tout de suite partir vers d’autres horizons. Ma mère me regarde et garde constamment un œil sur moi, ne plus rien faire pour me nourrir à l’air de lui faire du mal, mais maman je ne peux qu’attendre comme ça sans pouvoir faire quelque chose. Je suis désolée, maman, de te faire tant de soucis, mais je ne pense pas pouvoir faire quelque chose avant de mettre mon ego de côté et aller voir Eyal. Je ne veux pas aller le voir comme une gentille chienne la queue entre les jambes.

La soumission n’est pas mon fort et tu le sais très bien si je ne suis pas d’accord avec quelque chose je montre les crocs, si je dois mordre pour me faire comprendre je le ferais. Ça a toujours été comme ça et ça le sera toujours, je suis têtue et je le sais, mais je ne me plie à personne sauf si j’en ai envie. Je ne suis pas capricieuse ou autre pourtant je pourrais l’être, ce que je veux avant tout c’est du respect et le respect de mes convictions. Je vais finalement en direction de la salle de bain tout en traînant des pieds, je n’ai que ça pour me détendre, mais voir sur ma peau ces traces sur ma peau me dégoûte. Je laisse l’eau remplir la baignoire et me déshabille lentement en me regardant dans le miroir. J’ai l’impression d’avoir le teint d’un mort et à des moments voir mes yeux prendre une couleur bleu-turquoise. Je place par la suite une boule de bain rose dans l’eau chaude tout en bâillant à des moments, je devrais peut-être prendre le temps de faire une bonne sieste. Je pense que je vais faire ça tout à l’heure, de toute façon ça ne risque pas de me faire du mal loin de là.

Je passe environ deux heures dans l’eau tout en ayant de la musique dans les oreilles. Ma mère est venue toutes les heures pour savoir comment je vais et que j’étais bien en vit. Bien sûr que je suis en vie, je ne vais pas me suicider, c’est du n’importe quoi, j’ai droit de déprimer un peu, je pense. Je finis par me laver tout en chantant une chanson, je ne sais pas du tout ou je l’ai entendu, mais je connais les paroles en tout cas. Une fois toute propre, j’approche de ma chambre enroulée dans une serviette en allant directement dans ma chambre pour m’habiller. Je prends des vêtements dans ma penderie ne cherchant pas une tenue spéciale je prends ce qui me tombe sur la main. Une fois habiller, je me coiffe rapidement ne faisant pas de coiffure sophistiquée. Je pars rapidement dans le salon dit à ma mère que je reviens en prenant les comprimer dans la salle de bain du bas. Je regarde rapidement la provenance des médicaments puis cherche sur internet l’adresse de l’entreprise des fameuses pilules. Je ne perds pas de temps et prends mes clefs dans mon sac à main qui se trouve sur le canapé et me voilà partie en direction de ma voiture. J’entre finalement les coordonner de ma destination et me voilà partie sans demander mon reste. Ça suffit, je ne peux plus vivre comme ça.

Après une heure de trajet, je finis par arriver devant un grand bâtiment luxueux, j’aime beaucoup ce dernier d’ailleurs. Je prends une place non loin de ma destination et pars en direction des ascenseurs de l’entreprise, je ne fais attention à personne et vais directement à l’étage ou je dois aller après avoir regardé la liste des bureaux sur une pancarte. Après quelques minutes, je parle à une secrétaire et lui demande à voir, monsieur Harker. Elle me demande si j’ai un rendez-vous, j’ai l’air d’avoir un rendez-vous. Je ne pense pas et n’en ai pas l’envie alors, le ton monte et mon mécontentement monte de nouveau. C’est alors que la voix d’un homme m’interpelle. Je regarde en direction de la personne tout en le regardant droit dans les yeux.

- Puis-je savoir ce qui se passe? Pourquoi troublez-vous le calme de mes bureaux mesdames?

Je laisse l’autre idiote parler avant de devoir même donner ma version des faits.

J’ai un gros problème avec vos pilules, j’ai demander à vous voir de toute urgence, mais cette... Je prends une profonde inspiration avant de reprendre la parole dans un calme à toute épreuve. Votre secrétaire ne voulait pas me prendre sans rendez-vous une fois que j’ai crié, elle c’est très vite calmé et ma demander d’attendre.
© YOU_COMPLETE_MESS

01/11/2017

The customer is queen!

Je vous jure que j'aurai tout donner pour que cette dispute entre ces femmes ne se soient jamais déroulée... Mais bon j'écoutais les arguments de la jeune femme rousse, tout en prenant aussi en compte ce que me disait ma secrétaire. Après les avoir écouté avec attention ce qu'elles avaient à me dire et je frottais légèrement mes doigts du bout de mes doigts en soupirant longuement.

- Bon... Mademoiselle, veuillez me suivre... Quant à vous Miss Harper merci de bien retournez à votre poste, je suis sûr que vous avez encore beaucoup de travail.

Je guidais alors la jeune femme jusqu'à mon bureau où nous pouvions parler de ces problèmes de pilules. Je lui donnais alors un fauteuil pour qu'elle puisse s'y installer et lui proposait quelque chose à boire 'un mouvement de la tête envers la cafetière que j'avais installé dans mon bureau. En attendant sa réponse je lui posais également les questions dont j'avais besoin pour analyser si les raisons de sa présence ici.

- Bon... Pourrais-je avoir votre nom, prénom, espèce de surnaturel et aussi savoir si vous aviez un dossier médical. Ou du moins si vous avez déjà effectué des visites médicales à la Harker Corporation, dans l'aile de la santé.

J'annotais ses réponses dans un petit calepin. Puis je concentra de nouveau mon regard sur elle et je l'écoutais alors un peu plus attentivement. S'il y avait des soucis avec ces fameuses pilules, il fallait que je trouve la source du problème pour l’éradiquer. Ou au moins trouver une autre solution pour ma cliente, car comme on dit dans mon métier: "Le client est roi". Et dans cette situation c'était plutôt : "La cliente est reine".

- Expliquez moi le soucis avec vos pilules.

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